Les femmes ne doivent pas être parquées dans des wagons réservés, l’espace public leur appartient ! Ce n’est pas à elles de trinquer pour l’échec des politiques sécuritaires et migratoires.
Les femmes n’ont pas à s’enfermer pour être en sécurité.
Les transports, les rues, leur appartiennent autant qu’à quiconque.
C’est aux agresseurs de s’adapter, pas aux victimes de se cacher.
En France, les personnes condamnées pour des infractions sexuelles graves sont inscrites au FIJAISV (Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes).
Dans les transports en commun en Ile de France: 62% des mis en cause pour agression sexuelles sont des étrangers. (Source: ministère de l’intérieur, 2024.)
Pourtant, chaque jour, les femmes subissent harcèlement, attouchements, et agressions sexuelles dans les transports en commun.
Certains de ces agresseurs sont des récidivistes connus, déjà condamnés, mais continuent à circuler librement parmi les usagers.
➡️ Nous disons STOP à cette impunité organisée.
Nous demandons à l’État et au Parlement de mettre en place une interdiction d’accès aux transports publics pour les agresseurs sexuels récidivistes, décidée par les juges, pour protéger les premières victimes de l’insécurité: les femmes.
Nos revendications :
– Mettre fin à la logique de “protéger les femmes en les isolant” : la sécurité ne doit pas passer par des wagons séparés, mais par l’exclusion des agresseurs dangereux.
– Permettre aux tribunaux d’imposer une interdiction ciblée de transports aux personnes condamnées pour agressions sexuelles, en particulier en cas de récidive.
Renforcer le suivi et le contrôle judiciaire de ces interdictions, avec des moyens concrets pour les faire respecter.
Toutes ces mesures doivent s’accompagner d’une politique migratoire ferme, les étrangers étant massivement surreprésentés dans les agressions sexuelles dans les transports en commun.
Nous refusons que les femmes soient parquées, parce que l’état n’a pas le courage de s’attaquer aux délinquants.
Nous refusons de voir la responsabilité déplacée des agresseurs vers les victimes.
Nous exigeons une mesure simple, juste et protectrice : les transports doivent redevenir des lieux sûrs.
🖊️ Signez cette pétition : la liberté et la sécurité des femmes n’est pas négociable.
Objectif : 10000 signatures
Christelle
a signé la pétition
il y a 7 minutes
Sandrine
a signé la pétition
il y a 9 minutes
Kevin
a signé la pétition
il y a 22 minutes
Chloé
a signé la pétition
il y a 28 minutes
Pierric
a signé la pétition
il y a 54 minutes
Emma
a signé la pétition
il y a 1 heure
Jules
a signé la pétition
il y a 1 heure
Transmission des données des signataires de votre pétition : rappel des règles d’usage
Conformément à votre demande, nous vous transmettons les données personnelles des signataires de votre pétition. Ces informations sont fournies dans le respect des lois et réglementations en vigueur, notamment le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) et la loi française Informatique et Libertés.
Nous vous rappelons que :
Sanctions en cas de non-respect : Toute infraction aux lois sur la protection des données peut entraîner des sanctions administratives, civiles ou pénales, ainsi que des amendes substantielles.
En traitant ces données avec responsabilité, vous contribuez à préserver la confiance des signataires et à garantir le respect de leurs droits. Si vous avez des questions sur l’utilisation de ces données, n’hésitez pas à nous contacter.
Merci pour votre compréhension et votre engagement.
L’équipe de Pétitions liberté