L’actualité récente met en lumière les dangers posés par la mouvance antifa à l’échelle internationale. Le 10 septembre 2025, le militant conservateur américain Charlie Kirk a été assassiné lors d’un événement à l’Université Utah Valley par Tyler Robinson, un antifa. Cet acte odieux a accéléré les décisions politiques : aux États-Unis, le président Donald Trump a annoncé la désignation de la mouvance antifa comme une « organisation terroriste », en affirmant que les antifas étaient responsables d’actes de violence particulièrement graves. Suivant cet exemple, les Pays-Bas ont vu leur Parlement adopter une motion proposée par Thierry Baudet, déclarant ainsi la mouvance antifa comme terroriste. En Hongrie, Viktor Orbán a emboîté le pas en annonçant la même chose. Ces mesures soulignent l’urgence d’agir contre une idéologie qui promeut la violence sous couvert d’antifascisme.
En France, la mouvance antifa représente une menace réelle et croissante pour l’ordre public et tous les citoyens qui ne sont pas d’extrême gauche. Les manifestations du 10 et 18 septembre ont une nouvelle fois démontrer les velléités révolutionnaires des antifas qui, en formant des black bloc, attaquent les forces de l’ordre et détruisent des commerces.
Comme le démontre le travail de L’Observatoire des violences politiques, les violences des antifas sont quasi-quotidiennes en France :
· Le 21 août dernier, en marge du Festival international de théâtre de rue d’Aurillac, environ 300 antifas ont attaqué les forces de l’ordre, érigé des barricades, détruit du mobilier urbain et des commerces, tagué la ville et blessé huit policiers ;
· À Marseille, à la fin du mois d’août, les antifas ont placardé des affiches avec les noms et les visages d’opposants politiques, avec la mention explicite « On te croise, on te fume » ;
· Le 13 juin, à Laval, deux antifas ont agressé un jeune homme de 18 ans car il portait un t-shirt du porte-avions Charles de Gaulle ;
· Le 4 juin, à Paris, deux militantes du collectif Némésis ont été agressées par des antifas qui se rendaient à un meeting de la Jeune Garde et d’Urgence Palestine à la Bourse du Travail. Elles ont été reconnues alors qu’elles mangeaient à la terrasse d’un restaurant ;
· Le 27 mai, à Paris, des antifas ont agressé des militantes du collectif Némésis et des journalistes de Valeurs actuelles en marge d’une manifestation contre les OQTF ;
· Le 25 avril, deux militants identitaires ont été agressés par une dizaine d’antifas dans un café à Albi. Résultat : hématomes sur tout le corps, entorse à la cheville, avec traumatismes crâniens, arcade être ouverte par un coup de poing américain entraînant huit points de suture ;
· Le 27 février, à Rennes, devant la faculté de droit, deux étudiants affiliés au RN ont été reconnus puis lynchés par une dizaine d’antifas qui prenaient part à une manifestation d’extrême gauche qui passait devant la faculté ;
· Environ une fois par semaine, une permanence d’un député du Rassemblement national est dégradée par des antifas.
· Les violences sont innombrables et ont été compilées sur observatoire-violences.fr
La mouvance antifa recourt à l’intimidation et à la force physique pour imposer ses vues, menaçant ainsi la liberté d’expression et le libre débat en France. Il est temps que les autorités françaises reconnaissent cette réalité et agissent en conséquence pour protéger les citoyens.
Il est temps que la France reconnaissance également la mouvance antifa comme criminelle, comme terroriste.
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